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Tu as le droit de tuer un animal pour t'en nourrir à condition que ta joie de le manger soit plus grande que la joie qu'il avait à vivre.
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Paroles de la Chanson : Ma liberté de penser
Quitte à tout prendre prenez mes gosses et la télé
Ma brosse à dent mon revolver la voiture ça c'est déjà fait
Avec les interdits bancaires prenez ma femme, le canapé
Le micro onde, le frigidaire
Et même jusqu'à ma vie privée
De toute façon à découvert
Je peux bien vendre mon âme au diable
Avec lui on peut s'arranger
Puisque ici tout est négociable, mais vous n'aurez pas
Ma liberté de penser
Prenez mon lit, les disques d'or, ma bonne humeur
Les petites cuillères, tout ce qu'à vos yeux a de la valeur
Et dont je n'ai plus rien à faire, quitte à tout prendre n'oubliez pas
Le shit planqué sous l'étagère
Tout ce qui est beau et compte pour moi
J' préfère que ça parte à l'Abbé Pierre
J' peux donner mon corps à la science
S' il y'a quelque chose à prélever
Et que ça vous donne bonne conscience, mais vous n'aurez pas
Ma liberté de penser
Ma liberté de penser
J' peux vider mes poches sur la table
Ca fait longtemps qu'elles sont trouées
Baisser mon froc j'en suis capable, mais vous n'aurez pas
Ma liberté de penser
Quitte à tout prendre et tout solder
Pour que vos petites affaires s'arrangent
J' prends juste mon pyjama rayé
Et je vous fais cadeau des oranges
Vous pouvez même bien tout garder
J'emporterai rien en enfer
Quitte à tout prendre j' préfère y' aller
Si le paradis vous est offert
Je peux bien vendre mon âme au diable
Avec lui on peut s'arranger
Puisque ici tout est négociable, mais vous n'aurez pas
Non vous n'aurez pas
Ma liberté de penser
Ma liberté de penser
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Jacques Brel J'en appelle
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J'en appelle aux maisons
Écrasées de lumière
J'en appelle aux amours
Que chantent les rivières
A l'éclatement bleu
Des matins de printemps
A la force jolie des filles
Qui ont vingt ans
A la fraicheur certaine
D'un vieux puit de désert
A l'étoile qu'attend
Le vieil homme qui se perd
Pour que monte de nous
Et plus fort qu'un désir
Le désir incroyable
De se vouloir construire
En se désirant faible
Et plutôt qu'orgueilleux
En se désirant lâche
Plutôt que monstrueux
J'en appelle à ton rire
Que tu croques au soleil
J'en appelle à ton cri
À nul autre pareil
Au silence joyeux
Qui parle doucement
A ces mots que l'on dit
Rien qu'en se regardant
A la pesante main
De notre amour sincère
A nos vingt ans trouvés
À tout ce qu'ils espèrent
Pour que monte de nous
Et plus fort qu'un désir
Le désir incroyable
De se vouloir construire
En préférant plutôt
Que la gloire inutile
Et le bonheur profond
Et puis la joie tranquille
J'en appelle aux maisons
Écrasées de lumière
J'en appelle à ton cri
À nul autre pareil
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